Bienvenus dans la magie du monde Végétal !

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L’alimentation végétale et vivante permet d’expérimenter la loi de résonance 🙂 Le vivant attire le vivant, des cercles vertueux se créent …. à la place des cercles vicieux ! Une expérience à faire soi même ! Un secret pour rester en forme dans tous les sens du terme 🙂

L’alimentation idéale: une alimentation principalement végétale

Sans vouloir entrer dans les débats qui prouvent que nous sommes faits pour une alimentation essentiellement végétale, je vous inciterai à aller droit au but en faisant votre propre expérience car ce sera elle et votre corps qui vous diront la « vérité ». La seule chose est de savoir pacifier son mental et son ego (cette partie de nous qui ne veut pas changer, qui a peur de l’inconnu et qui veut toujours avoir raison..) et de faire la différence entre les message de notre mental et ceux de notre corps, de notre âme…

Les experts (nutritionniste, naturopathe, hygéniste et même médecin)  en matière de nutrition qui en ont fait l’expérience s’accorde tous à affirmer que l’alimentation idéale de l’homme est d’origine végétale. Pour donner des chiffres, une base de 80% végétale biologique (fruits et légumes) avec une bonne part de cru et 20% d’autres aliments tels céréales et produits animaux est une alimentation saine et équilibrée.

Il suffit en fait d’en faire l’expérience plutot que de passer des heures voire des années à essayer de comprendre et prouver mentalement, intellectuellement ou même scientifiquement pourquoi notre alimentation est censée être essentiellement végétale et donc pourquoi il faudrait se calmer sur la viande, le poisson et les produits laitiers… Car devant l’expérience, les arguments ne valent rien ! C’est aussi une super occasion de sortir de notre prison mentale si bien façonnée par notre société de consommation, de profit et de maladie … hein, parce que si on allait si bien, ça se saurait et la planète ne serait pas en train de mourir et nous avec …

L’idée est d’être à l’écoute de son corps et de ses besoins, de savoir différencier envie et besoin. L’envie vient des émotions ou du mental, le besoin vient du corps.

Mon expérience m’a montré qu’il y a certaines personnes qui peuvent très bien se passer de produits animaux alors que d’autres non. Pour ceux qui en ont besoin, la clé réside dans la quantité, la qualité et dans la reconnaissance de qui parle en nous. Les besoins, les envies, les émotions, la fatigue, la peur … A nous de développer notre discernement et l’écoute de notre corps 🙂

Bien sur que l’on peut consommer des produits animaux, le top reste en petite quantité, par période, quand le corps le demande et pas par l’habitude d’un mental conditionné … Si vous en consommez, n’oubliez pas de bénir et remercier l’animal que vous mangez, cela sera déjà un beau geste de conscience et de dynamisation de l’aliment 🙂

Que la conscience soit avec nous <3

Tout d’abord, pourquoi mange-t-on ?

Et si nous prenions conscience que ce n’est pas notre ventre que nous devons remplir, mais nos cellules que nous devons nourrir ?

Tout aliment devrait donc en principe avoir un intérêt nutritif pour être consommé. Un des objectifs principaux est de respecter le bon équilibre acido-basique : une alimentation trop acidifiante mène à l’acidose, qui est le terrain parfait pour toutes les maladies. Et oui, les maladies ne peuvent se développer sur un terrain sain, c’est à dire non acidifié. Notre mode de vie moderne étant généralement très acidifiant (stress, pollution, ondes électromagnétique, etc.), nous avons intérêt à avoir une alimentation aussi alcalinisante (basique) que possible.

La nourriture émotionnelle a également prit une ampleur disproportionnée dans nos habitudes … On s’anesthésie en mangeant, en se remplissant et cela nous permet de ne plus sentir nos émotions pour un temps donné…

Le déni émotionnel va aussi pousser des parties de nous à manger certains produits pour combler un manque, une absence d’attention, d’espace… Notre enfant intérieur en est souvent la source dans ce monde si sérieux où le travail a pris toute la place … Sans oublier que nos générations ont été élevées au sucre blanc et aux additifs chimiques ainsi qu’à la viande qui rendrait fort et aux produits laitiers qui seraient nos amis pour la vie .. aie aie aie … Dur d’expliquer ça à notre enfant intérieur… qui veut sa glace ou son gâteau pour se sentir exister, entendu … A nous de nous rééduquer en se laissant une part de liberté, de lâcher prise, de marge de manoeuvre pour créer un changement solide sans frustration ni excès.

Le programme pour commencer à changer ou à se refaire une santé! Venez découvrir les lois du vivant et des programmes de régénérationici

L’Alimentation vivante ! Définition …

C’est une alimentation qui s’approche du 100% végétale, essentiellement crue et biologique au possible, qui apporte à l’organisme une nourriture remplie de vitalité qui nourrit les cellules du corps physique et même les autres corps (émotionnel, mental et spirituel puisqu’elle augmente notre vibration en ouvrant notre conscience sur ce qu’on donne à notre corps). Aussi appelé crudivorisme et plus précisément frugivorisme (à base de fruits et légumes), cette alimentation consiste en grande partie à manger les aliments sous leur forme naturelle donc crue (n’ayant subi aucune transformation), en minimisant la cuisson ou le chauffage qui altère les nutriments à l’exception de la vapeur douce. Le cru conserve la haute qualité des vitamines, minéraux, enzymes etc, bref tous les micronutriments qui nourrissent réellement le corps et le régénère, en « opposition » avec les macronutriments qui remplissent plus qu’ils nourrissent  et font office de survie plus que de vie (alimentation à base de céréales et produits animaux et presque 100% cuite, voire cramée, grillée, frite, barbecutée). On utilise les procédés de fermentation et la germination (graine germée) qui optimisent notre régénération 🙂

Une alimentation à base de céréales et produits animaux est une alimentation à base de produits morts… Hors on fait du vivant avec du vivant *-*  C’est juste ainsi et quand on y pense c’est juste tout court …et ça résoud nombre de déséquilibres dans le monde ! On ne fait pas du vivant avec du mort…

 

Crudivorisme: les origines et une réponse à un mode de vie toxique

automne2Les origines de ce concept alimentaire remontent à deux siècles avant J.-C. alors qu’une communauté juive essénienne
pratiquait alors les rudiments de l’alimentation vivante. Cependant, on doit la popularisation du concept à Ann Wigmore
et Viktoras Kulvinskas, deux Américains qui fondaient leurs recherches sur la nutrition comme médicament naturel à une
myriade de maladies. Ils ont fondé le Hippocrates Health Institutebasé à West Palm Beach en Floride.

Les bienfaits de l’alimentation végétale et vivante

Les adeptes de l’alimentation végétale et du crudivorisme bénéficient d’une plus grande facilité à éliminer les déchets et toxines de l’organisme, ce qui contribue à prolonger leur espérance de vie, assurer de vieillir en santé, de même que prévenir l’apparition de plusieurs maladies ou alléger leurs symptômes (cancers, problèmes de digestion, maladies du cœur, diabète, arthrite, etc.). Comme leur terrain est alcalin et mue par un système de prévention et de respect du vivant, ils ne sont pas le festin des microbes, bactéries et virus pathogènes qui préféreront leur voisin nourrit au fast food. Cette hygiène de vie leur permet d’assurer le bon équilibre acido-basique de l’organisme. Cet équilibre est la base d’une bonne santé et soutient aussi la prévention de la maladie.

Certes, le crudivorisme implique une importante consommation en fruits et légumes, et fournit donc de précieux
antioxydants. Il est vrai que la cuisson autre que vapeur douce altère les nutriments et antioxydants contenus dans ces
végétaux.

Manger cru préserve aussi les enzymes digestives des aliments, toutefois, ceci devient problématique lorsque l’estomac
devient trop acide, car les enzymes seront alors détruites, nuisant à la digestion.

Le crudivorisme n’implique pas forcément de carences nutritionnelles, sinon qu’un apport amenuisé en vitamine B12 auquel
il est facile de pallier en prenant un supplément alimentaire ou en mangeant de temps en temps un produit animal qui en contient, c’est à dire qui a été élevé en plein air et qui a été nourrit sans OGM.

Enfin, les adeptes du crudivorisme retrouvent leur silhouette idéale assez rapidement, largement due à la quantité importante de végétaux, de fibres alimentaires, qui permet au corps d’éliminer ses déchets au lieu de les stocker. La perte de poids est aussi attribuable à la longue mastication d’aliments crus, favorisant un effet de satiété rapide et une bien meilleure digestion.

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Que mange t’on dans cette alimentation végétale ?

On mange des trucs plein de couleurs ! Plein de vie ! Nombre d’entre nous ne connaissons pas l’étendue incroyable de toutes les variétés de végétaux qui nous entourent. Quand on se met à découvrir cet univers c’est une véritable aventure qui s’ouvre à nous 🙂 Voici une liste des principaux aliments qui compose une alimentation végétale équilibrée:

  • Des fruits et des légumes
  • Des baies (framboise, mûre, myrtille, baie de goji …)
  • Des jus de légumes et de fruits frais
  • Des smoothies de fruits et de légumes
  • Les supers amis citron, persil, avocat, banane, pomme bio
  • Fruits séchés (figue, ananas, mangue, raisin, banane, pomme, abricot, pruneau, dattes ..)
  • Super condiments (ail, oignon, gingembre, curcuma) à utiliser au quotidien si possible
  • Plantes aromatiques (basilic, ciboulette, coriandre, persil, menthe …)
  • Plantes médicinales ( ortie, camomille, verveine, marjolaine, lavande ..)
  • Epices (cumin, poivre, fénugrec, canelle, piment de cayenne..)
  • Algues (nori, wakamé, spiruline, dulse, kelp, chlorella…)
  • Graines germées (qu’on fait soi même à la maison ^^)
  • Fruits secs/oléagineux (trempés c’est le top mais bon chaque chose en son temps)
  • Noix (amande, noisette, noix de cajou, noix du brésil, pistache…)
  • Graines (de tournesol, de lin, de chanvre, de chia, de courge..)
  • Super aliments (graines de chia, pollen, propolis, maca, gingseng, spiruline, aloé vera, baie de goji, shitaké…)
  • Aliments fermentés et lactofermentés
  • Quinoa et sarrazin
  • Céréales germées
  • Un peu de céréales complètes ou semi complètes
  • Un peu de légumineuses (lentille, pois chiche, haricot..)
  • Eau de mer (plasma/sérum de Quinton)
  • Levure de bière
  • Huile végétale vierge de 1ère pression à froid ( huile d’olive, de coco, de germe de blé ..)
  • Du vinaigre de cidre
  • Végétaux déshydratés
  • Cacao cru, caroube crue
  • Sirop d’agave, d’érable, miel, datte, sucre de coco pour sucrer
  • Noix de coco jeune ou fraîche (l’eau de coco est un miracle !)
  • De l’aloé vera
  • Psyllium
  • Huiles essentielles
  • Fleurs de Bach

 

 

Fruit and vegetables for all tastes

 

Végétarien définition

Il existe différentes catégories de végétarisme mais nous allons nous concentrer sur la définition globale de ce terme. Le végétarisme fait référence à un type d’alimentation qui exclut la viande (viande rouge et viande blanche), les poissons et les fruits de mer. On peut toutefois discerner quelques nuances où l’on trouve une consommation de produit animaux comme : des produits laitiers,  des œufs, du poisson, des fruits de mer voire de la volaille.

Le principal problème des végétariens c’est qu’ils sont souvent « plein » de céréales donc des colles encrassantes et acidifiantes pour les intestins; de produits laitiers, également des colles du système respiratoire et un acidifiant de taille car adaptés au bébé de sa race et non aux humains; et de soja qui en fonction de là où il vient reste un perturbateur endocrinien important si on en consomme trop et trop souvent…Cela fait des végétariens « mous » … qui ne reflètent pas forcément la joie de vivre…

Les végétariens prônent souvent l’association d’une céréale et d’une légumineuse pour créer une protéine entière mais oublient que cette association reste extrêmement complexe pour notre organisme qui ne peut la décomposer donc la digérer entièrement… Du coup, l’opération n’est pas très équilibrée… De la colle, de la fatigue, de l’acidification… autant manger des noix …

Végétalien définition

A la différence du végétarisme, le végétalisme est un régime alimentaire qui ne comporte que des aliments issus du monde végétal. Les végétaliens rejettent donc les viandes, les poissons, les fruits de mer mais aussi les produits laitiers, les œufs et d’autres produits d’origine animale comme le miel. Très souvent, un végétalien ne se limite pas aux produits qu’il consomme et opte pour le véganisme, c’est à dire un mode de vie entier et pas seulement l’alimentation.

Végan définition

Le veganisme ne se réduit pas à une alimentation spécifique : il est avant tout un mode de vie . Le véganisme est une façon de vivre et un mode de consommation qui cherchent à exclure l’exploitation, la souffrance et la cruauté envers les animaux, que ce soit pour se nourrir, se vêtir, etc… Un vegan essaie de vivre sans faire souffrir les animaux. Par conséquent, il exclut tout produit qui porte atteinte aux animaux dans son alimentation, mais aussi dans les autres facettes de sa vie. Il ne porte pas de laine, pas de cuir ; il n’utilise pas de produits cosmétiques testés sur les animaux, etc… Le concept clé du véganisme est basé sur le refus de l’exploitation animale.

Le terme vegan (à prononcer « végane ») est d’origine anglo-saxonne. On le traduit souvent en français par végétalien. Ce mode d’alimentation a été créé en 1944 par Donald Watson, officiellement le premier adepte du véganisme.

Une alimentation qui respecte notre corps et notre planète

Produire des végétaux sans pesticides c’est possible ! La permaculture, la biodynamie, l’agroécologie l’ont prouvé et ces méthodes sont non seulement respectueuses du sol de notre planète mais elles le fertilisent, le nourrissent, le restaurent ! Donc que demander de plus ? C’est à nous de réapprendre à vivre, à manger, à cultiver notre jardin. Le film « demain » en parle très bien, le mouvement des Colibris fondé par Pierre Rabhi aussi et tant d’autres ! Les consciences ont commencé à émerger depuis plusieurs années déjà et l’effet bonne boule de neige se développe à une belle vitesse, nous avons donc l’embarras du choix pour trouver du soutien, des structures pour amorcer notre changement !

Le mouvement des Colibris: http://www.colibris-lemouvement.org/webzine/decryptage/permaculture-agroecologie-agriculture-bio-quelles-differences

On n’en parle encore trop peu mais une des 1ère causes de destruction de la planète est la production de produits animaux ! L’élevage intensif des animaux est la 1ère cause de déforestation, de production de gaz à effet de serre qui pourri le climat, qui crée de la famine dans les pays pauvres, qui utilise plus d’eau et de nourriture que les humains en auraient besoin pour vivre sans famine et qui est une source de gâchis alimentaire déplorable quand on sait les quantité jetées…. N’oublions pas que la viande d’aujourd’hui n’est plus la viande d’hier …Les conditions d’élevage et de production se sont tellement dégradés qu’ils représentent à eux seuls un poison majeur…

C’est une catastrophe écologique qui vient répondre uniquement aux envies de viande, poisson et produits laitiers des pays dits développés dont la population consomment ces produits de manière excessive et pathologique, n’ayant même pas conscience de ce que ça implique autour d’elle…. Certes les lobbys de ces produits (agro alimentaire, médical et pharmaceutique), y sont pour beaucoup car nous raconte qu’il faudrait en consommer tous les jours voire à chaque repas pour être en bonne santé donc le conditionnement et  l’hypnose collective sont quasi généralisés à coup de matracage, de peurs créés sur nos carences et de mensonges si gros qu’on ne les voit même plus…Mais nous restons responsable de nos actes. Et il suffit de regarder autour de nous, les gens sont fatigués, pas épanouis, pas généreux, malades, vieux avant l’âge avec des cheveux blanc et des calvities à 25 ans, des diabètes à 13 ans, des nourrissons qui naissent avec le cancer, de l’obésités qui s’étend de plus en plus, des maladies dégénératives à foison où notre propre corps se retourne contre lui même, bref les exemple ne manquent pas pour dire qu’il y a des choses à revoir…. et l’alimentation en est un gros bout mais que l’on peut faire soi même ! Il suffit de commencer et les ajustages viendront grâce à nos propres expériences.

L’addiction liée aux produits animaux n’est plus à prouver et cela vient amplifier leur consommation de la même manière que les cigarettes et ‘alcool qu’on nous vend partout, librement, en écrivant dessus que ça nous tue … Les hormones contenues dans la viande ont cet effet d’addictions sur nos corps si fatigués qu’ils finissent vite par chercher des béquilles faciles dans l’alimentation. L’adrénaline, l’hormone de stress que les bêtes sécrètent avant d’être abattues se retrouvent dans notre assiette et dans notre sang et fait office de stimulant.. hm..sympa. On oublie que l’information véhiculée est terriblement négative: tristesse, peur, souffrance et douleur se retrouvent aussi dans notre organisme et c’est notamment de là que vient l’agressivité des carnivores … en plus du stockage des toxines des produits animaux qui ne sont pas éliminées assez rapidement, on est constipé, la viande n’avancent pas, elle nous encrassent et crée un stress qui se traduit généralement par une forme de violence … ou de dépression (violence avec soi même).

Allo allo ? On nous a mené à être des gros moutons, on nourrit le mouton qui est en nous, ok, mais concrètement que faisons nous pour sortir de nos cages? C’est vrai qu’on nous a appris à être de belles victimes et même à le rester pour se donner de la consistance… Est ce une raison suffisante pour se regarder couler ou laisser un monde tout pourri à nos enfants ?

Et maintenant on nous annonce que la planète est dans un état si misérable que si l’on ne se réveille pas en changeant soi même, d’ici 30 ans, l’eau sera rare, que des pays seront sous les océans rendus malades par les humains, que les poumons de la planète auront disparus, que le climat sera devenu si extrême que les gens devront quitter leur pays pour s’entasser sur d’autres et qu’en gros, c’est une guerre des ressources et du territoire qui se prépare …. Sympa ! Sommes nous aveugles et endormis à ce point là ? Au point de se foutre de tout ça ! ? Sans parler des maladies dégénératives qui envahissent le monde ….Mais qui a conscience de ça ? Qui fait quoi à son échelle pour ne pas participer à ce désastre de consommation d’humain malade ? Qui a conscience que notre alimentation et notre manière de vivre et de penser a plus qu’un impact sur notre santé, notre esprit et la planète entière ?

Qui est heureux du matin au soir ? Qui fait sa part pour la vie ? Qui a réveillé le colibri qui est en lui ? Qui s’aime et qui se sent aimé ?

Impact sur l’eau

L’élevage fait partie des activités utilisant de l’eau. La consommation d’eau prend plusieurs formes :

La consommation d’eau directe des animaux : une vache en lactation consomme environ 100 litres d’eau par jour4.
Le nettoyage des structures d’élevages, d’abattage et de transformation de la viande, ce qu’on peut appeler « eau grise ».
L’ irrigation des surfaces de pâtures ou de production d’aliments destinés aux animaux

L’agriculture, dont principalement l’élevage, est l’activité humaine la plus consommatrice d’eau douce.
La production de 1kg de protéines animales peut nécessiter jusqu’à cent fois plus d’eau que la production d’1kg de protéines végétales. C’est pourquoi une alimentation basée sur des aliments végétaux requiert en moyenne 1 000 litres d’eau par jour, quand une alimentation à dominante carnée (alimentation occidentale standard) en requiert 15 000.

L’élevage est un gaspillage de ressources

Un rapport de la FAO (1992, chap. 1) indiquait que les animaux sont de piètres convertisseurs d’énergie en alimentation humaine :

si on les nourrit avec des céréales, ils ingèrent en moyenne 7 kcal pour en restituer une sous forme de viande (3 kcal pour les poulets, 16 kcal pour les bovins).
Le président du GIEC, Rajendra Pachaury, illustre d’une autre façon cette inefficacité : il faut 7 à 10 kg de végétaux pour faire 1 kg de viande boeuf, 4 à 5,5 kg pour 1 kg de viande de porc.

Il s’ensuit qu’il faut beaucoup plus de terres agricoles pour produire de la viande que pour produire directement des céréales destinées à l’alimentation humaine.ressources-agricoles-480x360

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Production de viande & Consommation d’énergies fossiles et réchauffement climatique

Le réchauffement climatique est causé par la consommation d’énergie, car les principales sources d’énergie utilisées par les humains sont des carburants riches en carbone dont la combustion émet du dioxyde de carbone et d’autres gaz à effet de serre. Il faut en moyenne 25kcalories d’énergie fossile pour produire 1 kcalorie de protéines animales. En comparaison, la production d’1kcalorie végétale ne requiert que 2,2kcalories d’énergie fossile, soit un ratio de 11 pour 12. Convertir des céréales en viande constitue donc une énorme perte énergétique responsable de l’aggravation de l’effet de serre. Mais l’élevage est également responsable d’émissions directes de méthane, un gaz à effet de serre plus redoutable encore que le CO2, produit par les flatulences des ruminants.
Au final, l’élevage est responsable de 80% des émissions de gaz à effet de serre de l’agriculture, ce qui correspond à 18% de l’ensemble des émissions de gaz à effet de serre des activités humaines (9% du CO2, 37% du méthane, 65% du N2O) 6

Un rapport dépense-production totalement débile, la vérité sur la production animale

En moyenne, 10kg de protéines végétales sont utilisées pour produire 1kg de protéines animales.1 En effet, pour obtenir de la viande, il faut d’abord nourrir un animal : par exemple, il faut 13kg de céréales et 30kg de foin pour produire 1kg de viande de boeuf.
L’élevage est de très loin l’activité humaine la plus consommatrice de terres : il faut de 6 à 17 fois plus de surface de terre pour produire de la viande que pour produire du soja1. En conséquence, la production de bétail monopolise 70 % de toutes les terres agricoles et 30 % de la surface émergée de la planète. 70 % des terres auparavant couvertes de forêts en Amazonie sont occupées par des pâturages, et les cultures destinées à l’alimentation du bétail couvrent une large part des terres restantes.

Déchets et pollution

L’élevage est parmi l’une des plus importantes sources sectorielles de pollution de l’eau et de la terre.

Les humains pratiquent l’agriculture depuis environ 10 000 ans, mais ce n’est que depuis une cinquantaine d’années que les techniques agricoles reposent sur l’emploi massif de fertilisants chimiques de synthèse et de pesticides. Les récoltes n’absorbent qu’entre un tiers et la moitié de l’azote ainsi utilisé. Le restant infiltre et pollue les sols et l’eau. La plupart de ces substances chimiques sont utilisées pour la monoculture intensive dédiée à l’alimentation animale : d’après la FAO, la moitié des récoltes de céréales et 90% de celles de soja sont destinées à nourrir les animaux d’élevage. Si à la place ces surfaces agricoles étaient consacrées à produire des végétaux destinés à l’alimentation humaine, avec des modes de production soutenables incluant la rotation des cultures, la quantité de substances chimiques polluantes nécessaires serait considérablement réduite.
Dans les modes d’élevage traditionnels, les déjections animales ont un rôle important et sont utilisées dans le système de rotation des cultures afin de maintenir la qualité des sols. Mais dans le cadre de l’élevage intensif, très majoritaire dans les pays développés, et de plus en plus répandu dans les pays en développement, un trop grand nombre d’animaux sont confinés sur des surfaces réduites. En conséquence, la quantité de déjections produites outrepasse largement la capacité des écosystèmes environnants à les recycler. A titre indicatif, une vache laitère produit autant de déjections, en volume, que 20 à 40 humains par jour…
Cela engendre d’importantes menaces sanitaires. En effet, 70 à 80% de l’azote et du phosphore contenus dans l’alimentation du bétail et des porcs (60% pour les poulets) sont rejetés dans leurs excréments et leurs urines qui contaminent ensuite les sols et les eaux.7 Fréquemment, dans les régions où est pratiqué l’élevage intensif, l’eau est ainsi rendue impropre à la consommation. Les contaminations bactériennes constituent une autre menace sanitaire liée à l’accumulation des déjections.
Enfin, l’élevage est responsable de 64 % des émissions d’ammoniaque, substance présente également dans les déjections animales, qui contribue aux pluies acides.

 

On est ce qu’on mange 12122558_117779208580861_1564039981547479684_n

Donc voilà, les résultats sont là, le film/documentaire « cowspiracy » en parle très bien: nous mangeons beaucoup beaucoup trop de produits animaux et de plus des animaux malades et malheureux donc on ne peut pas faire pire.

Cette consommation crée la maladie chez nous et sur la planète entière.

Si l’on arrive à réduire sa consommation de produits animaux à 1 à 3 fois par semaine c’est déjà bien comparé à tous les jours voire plusieurs fois par jours…

C’est votre corps qui vous remerciera, la vie et la planète aussi !

Cowspiracy, un film pour comprendre l’impact de la surconsommation de produits animaux sur notre planète

Cowspiracy, un film pour comprendre l'impact de la surconsommation de produits animaux sur notre planète

 

Sources: Caro le Haricot, www.alimentation-responsable.com, film « cowspiracy », www.viande.info/

 

Article en cours de finition, merci pour votre tolérance 🙂
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